Astuce Windows – Copier coller le chemin d’accès d’un fichier

memo

Par curiosité, combien, entre vous, savez à propos de l’existence des options supplémentaires au menu affiché lors du clic droit de la souris et la combinaison de la touche Shift dans Windows Explorer? Saviez-vous donc ce dont il est question?

Pour ma part, encore une fois, j’ai l’impression d’avoir manqué le mémo qui m’informait comme être plus productif avec Windows.

La dernière fois, c’était un lecteur qui m’informait dans un commentaire à un de mes Liens de la semaine qu’il y avait une façon d’accéder à un terminal à partir de l’emplacement courant dans Windows Explorer à l’aide du raccourci Shift-Clic droit dans le dossier courant.

Boum! À partir de cet instant, il n’était plus nécessaire de faire la combinaison des actions suivantes:

  • Windows-R
  • cmd
  • cd c:\dossier\super\secret

Après quelques années, c’était devenu fastidieux. J’ai en dette ce lecteur depuis ce temps. Les autres, ça ne vous aurait pas tenté de me le dire avant?

La même chose s’est produite la semaine dernière avec la même combinaison de touches clavier et souris. Saviez-vous qu’il est possible de copier le chemin d’emplacement pour un fichier? Soyez honnêtes. De tous les gens que j’ai sondés, j’ai eu un taux de succès de 0%.

chemin

Il suffit de combiner les touches Shift-Clic droit sur un fichier et ce raccourci va apparaître dans le menu démarrer. Incroyable, non?

Partagez la bonne nouvelle! Allez-y! Copiez-collez des chemins d’emplacement comme des fous!

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Les liens de la semaine – Édition #141

Développement

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Science et autres

 

Quelques conseils pour s’initier à la course à pied

Dernièrement, j’ai aidé une amie à s’initier à la course à pied. Cette amie en est à ses premières foulées sérieuses à la course à pied. Évidemment, elle trouvait l’entraînement un peu difficile les premières fois qu’elle est sortie courir. Ce qui est admirable, dans son cas, c’est que ce n’est pas la motivation qui manque dans son cas, car elle a l’objectif de compléter une distance de cinq kilomètres à la fin du mois d’août.

Ses principaux questionnements tournaient autour de l’entraînement. Comment se préparer? À quel rythme courir? Combien de fois par semaine faut-il sortir? Quelles distances dois-je courir à chaque entrainement? Ai-je vraiment besoin de bouteilles d’eau?

Depuis que je cours sur une base régulière, j’ai entendu mon lot d’histoires de coureurs débutants qui décident, un beau mardi d’été, d’aller courir quelques kilomètres « pour le plaisir ». Ils reviennent tous avec un découragement ou simplement une motivation en chute libre après quelques jours, car l’exercice a été plus difficile que prévu.

Le corps humain est une incroyable machine. À la base, votre corps a tout ce qu’il faut pour courir. C’est ainsi que notre corps a évolué pour être en mesure de mieux survivre. Le principal avantage d’être un bipède est de pouvoir courir plus vite, plus loin et avec plus d’agilité que les quadrupèdes.

Une connaissance à moi, une fois, m’a dit : « Pascal, dis-toi que tu as tout en main pour être capable de chasser le mammouth. ».

Alors, comment débuter avec la course à pied? Voici quelques conseils que j’ai à suggérer pour le coureur qui désire s’initier.

Équipement

À la course, comme dans tout sport, vous allez avoir chaud. Pour avoir chaud, il faut bien se vêtir. Cela sonne un peu ironique, n’est-ce pas?

Pas du tout! De bons vêtements vont faciliter l’évaporation de la transpiration. Ce qui aura comme principal effet d’améliorer votre confort.

Au minimum, vous aurez besoin de faire quelques achats pour renouveler votre garde-robe pour les items suivants:

  • Souliers
  • Chandail
  • Shorts
  • Sous-vêtements
  • Bas

Préférez des vêtements avec des tissus synthétiques favorisant la respirabilité. En autres mots, évitez le coton.

Courir au bon rythme

L’erreur la plus courante chez les coureurs débutants, c’est de surestimer sa capacité à la course. Certains vont se donner un objectif trop ambitieux. Par exemple, celui de courir un demi-marathon après huit semaines d’entraînement. D’autres vont prendre les bouchées beaucoup trop grandes à l’entraînement.

Dans tous les cas, le principal risque qui est pris, dans ces situations, est au niveau des blessures. Si vous courez au deçà de vos capacités, le principal effet sur votre corps sera, très probablement, une blessure. Cela est dommage, car, lorsque vous êtes blessés, vous ne courez pas. Par le fait même, vous ne vous améliorez plus.

L’essentiel, c’est d’avoir un plan. Allez chercher des conseils des professionnels de la course à pied. Sachez que je n’en suis pas un. Je ne suis qu’un passionné. C’est bien différent!

J’en ai déjà parlé dans le passé. Je suis un disciple des livres Courir au bon rythme par Jean-Yves Cloutier. Il y en a d’autres aussi sur le marché. L’important dans un plan d’entraînement c’est d’aller chercher une constance et un encadrement dans l’entraînement.

Comme le titre le dit, la clé réside dans la course au bon rythme. C’est là que l’expression « Lentement mais surement » prend tout son sens. Lorsque vous débutez à la course à pied, c’est aussi l’occasion pour votre corps de s’adapter à ce nouveau sport. Prenez votre temps!

Gérer ses attentes et faire attention aux blessures

Une fois que l’entraînement est bien établi. Disons après 4 à 6 semaines. Les premiers changements vont se faire sentir. C’est surtout à ce moment-là que la tentation de pousser la machine et de dérailler de votre plan d’entraînement sera la plus forte.

On ne devient pas marathonien en huit semaines. C’est cela qu’il faut garder en tête.

Déroger du plan d’entraînement pour augmenter l’intensité ou les distances parcourues risque de vous faire plus de tors que de bien. Bien évidemment que je ne suis pas un spécialiste de la médecine sportive. Cependant, il est facile de concevoir qu’il faut laisser un peu de temps à votre corps pour s’adapter. En particulier, tout ce qui est au bas du corps: genoux, tibias, chevilles, hanches.

D’ailleurs, pour vous donner une idée, les plans d’entraînement de Courir au bon rythme I sont sur quatorze semaines. Ce n’est pas parce que l’on court plus vite qu’on va atteindre sa destination plus rapidement. Parlez-en au lièvre.

Douleur

J’ai un seul conseil à donner au sujet de la douleur et de la course à pied. Ne tolérez pas la douleur et, surtout, consultez un médecin si cela persiste.

À l’automne 2014, j’ai toléré une douleur au talon d’Achille lors de mes sorties. Cela a fait en sorte que j’ai manqué quelques semaines d’entraînement pour recevoir des traitements. Il s’avère que c’était des restants d’une entorse que j’avais subie deux ans auparavant.

Soyez attentif aux signaux que votre corps peut donner. Donnez-lui des pauses, si nécessaire, pour récupérer.

Bonne course!

Petite perle Visual Studio : transformer le JSON en classes

Vous désirez surprendre vos collègues un mercredi matin? J’ai ce qu’il vous faut avec ce billet.

Ce que j’aime le plus avec l’informatique est de découvrir une petite fonctionnalité qui est présente dans un logiciel qui permet d’améliorer de beaucoup l’automatisation d’une tâche. De petits plaisirs de la vie tout à fait gratuits.

Convertir un document JSON en une série d’objets concrets est une tâche longue, manuelle et assez ennuyante. Il peut même arriver, dans le processus, d’oublier des propriétés ou même se tromper dans l’orthographe de celles-ci.

1. Trouver un bout de JSON à convertir

Pour que la démonstration puisse fonctionner, vous allez devoir aller sur internet et vous trouver un petit bout de JSON, celui que vous voulez.

Je vais vous attendre ici.

endless

Toujours rien? Vous n’avez pas cherché vraiment fort. Voici un exemple tiré de la page Wikipédia de JSON :

{
    "firstName": "John",
    "lastName": "Smith",
    "age": 25,
    "address": {
        "streetAddress": "21 2nd Street",
        "city": "New York",
        "state": "NY",
        "postalCode": 10021
    },
    "phoneNumbers": [
        {
            "type": "home",
            "number": "212 555-1234"
        },
        {
            "type": "fax",
            "number": "646 555-4567"
        }
    ]
}

2. La magie de Visual Studio 2012

Lorsque je dis « magie », vous devez le prendre au sens figuré, n’est-ce pas? Croire à la magie c’est comme croire au père Noël. Ça n’existe pas.

Une fois dans Visual Studio, vous allez vous créer une classe C# régulière et placer votre curseur entre les deux accolades réservées au namespace. À partir de là, vous visiterez le menu Edit > Paste Special > Paste JSON as Classes.

Comme promis, votre JSON sera converti en une classe C# fortement typée. Comme celle-ci :


public class Rootobject
{
public string firstName { get; set; }
public string lastName { get; set; }
public int age { get; set; }
public Address address { get; set; }
public Phonenumber[] phoneNumbers { get; set; }
}
public class Address
{
public string streetAddress { get; set; }
public string city { get; set; }
public string state { get; set; }
public int postalCode { get; set; }
}
public class Phonenumber
{
public string type { get; set; }
public string number { get; set; }
}

view raw

JSON.cs

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D’ailleurs, il est à remarquer que, si votre projet utilise .NET 4.5, vous pouvez utiliser la fonction « Paste XML as Classes ». Alors, si vous êtes à utiliser du XML dans le cadre de votre projet, la même transformation peut être complétée. N’est-ce pas assez fantastique?

Moi, je crois que oui. Happy coding!

Chers amis recruteurs, un message d’intérêt public : non.

J’ai une confession à faire.

Un des domaines d’emploi qui m’intrigue le plus est celui du recrutement. À l’image du modèle d’un courtier hypothécaire, le recruteur sera généralement employé par une compagnie afin de dénicher le ou les candidats pouvant cadrer dans ses plans d’embauche.

Les recruteurs, en soi, ça me laisse un peu indifférent. Après tout, il y a une demande pour ce genre de boulot et ils le font. Qui sait? Peut-être même qu’un jour je serais tenté de faire affaire avec l’un d’eux dans ma carrière professionnelle.

Selon l’impression que j’en ai, il s’agit d’un domaine où l’emploi en question est peu gratifiant. De plus, il semble que tous les coups sont permis afin de joindre les candidats potentiels.

Là où je suis sévèrement irrité, c’est lorsqu’on tente de me débaucher sans que ça soit moi qui aie fait les premières démarches. Est-ce qu’il y a quelque chose de pire que de recevoir l’appel, à son téléphone de bureau, d’un recruteur inopportun? À chaque fois, j’ai été choqué de l’interaction.

Une fois, j’ai même été mis au courant, par un collègue, d’un recruteur qui avait sollicité certains de ceux-ci par l’entremise de mon compte LinkedIn. Le point fâcheux est qu’il mettait de l’emphase en mentionnant qu’il était une bonne connaissance à moi. Ce qui était évidemment faux.

Il faut être désespéré pas rien qu’un peu, n’est-ce pas?

La principale anecdote, juteuse, que j’ai à ce sujet est en lien avec un recruteur qui a tenté de me rejoindre à mon bureau, mais qui a eu l’audace de me laisser un message sur ma boîte vocale. D’autant plus que le recruteur en question était entièrement anglophone et venait de Toronto.

Ayant accès à l’enregistrement du message vocal, je me suis dit que je pourrais l’immortaliser ici même pour votre grand plaisir. D’ailleurs, si le poste vous intéresse, vous pouvez lui laisser un appel, car je ne suis pas intéressé par son offre.

Ceci étant dit, chers amis recruteurs, ne passez pas par mon téléphone de bureau pour tenter de me rejoindre. C’est peine perdue à ce niveau. Tenez-vous cela pour dit, recevoir un appel de ce genre d’un recruteur est, à mon avis, du même genre que de recevoir des appels de sondage ou de publicité non sollicités. Envahissant!

N’y pensez même pas!